mardi 26 mai 2020

Arrêter le temps et faire marche arrière

 -- TEXTE DE : André Robitaille
 -- PUBLIÉ LE : 9 juin 2016

Avec les nouvelles découvertes dans le monde de l’astronomie ces dernières années, cela nous a permis de voyager dans le temps. Ceci nous semble impossible sur terre, mais dans le cosmos il en est tout autrement. J'aimerais vous partager une déclaration d'un cosmologiste de renommer mondial.

Stephen Hawking, physicien théoricien et cosmologiste britannique, en parlant de l’origine de l’univers, déclarait :

«En fait c’est l’univers tout entier qui est en expansion dans toute les directions. Il se dilate encore et toujours comme un ballon que l’on gonfle. Pour un cosmologiste, cette découverte c’est un peu comme décrocher le gros lot. Car pour savoir comment l’univers est né, il suffit alors d’arrêter le temps et de faire marche arrière.» (Stephen Hawking)

Avec le lancement du satellite Planck en 2009, par l’Agence Spatial Européenne (A.S.E.), des découvertes étonnantes ont conduit le monde des astrophysiciens à remettre en question leurs théories sur l’univers et son origine.

Le satellite Planck a voyagé pendant 1000 jours avec la terre. Placé à une grande distance de celle-ci, (1,5 million de kilomètres) le satellite suivra la terre dans sa course autour du soleil pendant 3 ans (2009-2012). Situé au point de Lagrange L2, celui-ci balaiera le cosmos avec ses instruments de haute technologie.

La mission du satellite était d’explorer les confins de l’univers pour retrouver les premiers instants de son existence, la toute première lumière émise. Celui-ci était équipé d'un télescope relié à deux analyseurs de fréquence (spectrométrique et radiométrique). Tous les jours le satellite transmettait à la terre les informations recueillies.


L'objectif du satellite Planck était de mesurer avec une grande précision un certain rayonnement présent dans l'univers: le rayonnement fossile. Il s'agit du rayonnement le plus ancien émis dans le cosmos. Son observation a un rôle très important en astronomie, car il permet de reconstituer avec précision le contenu ainsi qu'une grande partie de l'histoire de l'univers.

Les résultats d'une dernière analyse en janvier 2015, a permis de détecter 1653 amas de galaxies supplémentaires dans la voûte céleste. Un amas de galaxies peut comprendre des milliers de galaxies. Notre univers comprend des milliards de galaxies. Pour bien comprendre l'immensité de notre univers, disons que notre galaxie, la Voie lacté, a un diamètre 100 000 années-lumière et qu'elle contient entre 200 et 400 milliards d'étoiles dont notre soleil. 

En analysant ces données, les scientifiques ont remarqué que certaine galaxies dans l'univers tirent vers le rouge et d'autre tirent vers le bleu. En astronomie la couleur d'une galaxie est très importante. Cela nous permet de déterminer la distance de celle-ci. Un décalage vers le rouge nous indique que cette galaxie est plus proche de son point d'origine et un décalage vers le bleu nous indique que cette galaxie est beaucoup plus loin de son point d'origine avec une accélération et une expansion beaucoup plus grande.

En plongeant nos regards vers les galaxies qui tirent plus vers le rouge, nous constatons que celles-ci sont dans une zone qui relève d'un passé plus lointain. Ces reste lumineux ne sont que le trajet de galaxies dont l'expansion et l'accélération sont en constantes évolution. Elles sont dans une zone qui nous conduit vers le début de toutes choses. Si nous observons des galaxies qui tirent de plus en plus vers un rouge plus marquant, il est évident qu'on se rapproche des premiers instants de l'existence de l'univers. Ce phénomène de changement de couleur  s'appelle dans le langage scientifique, l'effet Doppler.

L'effet Doppler nous permet de distinguer si les galaxies se situent au début de leur parcourt ou à un stade plus avancé. Les galaxies au début de leur parcourt, sont moins espacées entre elles et leur accélération est beaucoup moindre.

Avec le développement des données recueillies par le satellite Planck sur l'univers, ceci a permis de faire un scénario de retour en arrière sur son expansion. Voici comment Hawking décrit ce retour en arrière, ce voyage dans le temps, ce voyage dans le passé.

Hawking déclare:

"Lentement tout se rapproche. Bientôt toutes les galaxies, toutes les structures cosmiques convergent vers un point unique situé au début de toutes choses, il y a 13 milliards 700 millions d'années."  (Stephen Hawking)

Il faut bien comprendre ici, que le 13 milliards 700 millions d'années est une distance et non une durée. Dans l'univers, le temps et l'espace n'ont pas cours comme sur terre. 
Voir mon article "Le concept espace-temps dans l'univers"

Hawking aurait dû dire:

Lentement tout se rapproche. Bientôt toutes les galaxies, toutes les structures cosmiques convergent vers un point unique situé au début de toute chose à une distance de 13 milliards 700 millions d'années-lumière, au lieu de parler de temps et de dire: "...il y a 13 milliards 700 million d'années" 

Nous ne pouvons pas dire l'âge de l'univers en se basant sur son étendu en millier d'années-lumière. Ici nos concepts de temps et d'espace ne peuvent s'appliquer comme sur terre.

Plus on sonde les confins de l'univers et plus on va chercher des images éloignées, plus on se dirige vers le début de toutes choses. L'univers qui est en expansion constante et en accélération progressive, diminue en vitesse et en expansion lorsqu'on se dirige vers son passé, vers son origine. C'est comme faire un voyage dans le temps. C'est dans ce sens que nous devons comprendre Hawking quand il dit:

"Car pour savoir comment l'univers est né, il suffit alors d'arrêter le temps et de faire marche arrière."


samedi 23 mai 2020

Le concept espace-temps dans l'Univers

 -- TEXTE DE : André Robitaille
 -- PUBLIÉ LE : 14 juin 2016

Notre concept espace-temps ne s’applique pas dans l'univers comme sur terre.
Voici une déclaration de Stephen Hawking, physicien théoricien et cosmologiste britannique de renommer mondiale. En parlant du début de l'existence de toutes choses dans l'univers, celui-ci déclara:

          « Ce tout jeune univers est un objet bien étrange. … Ici nos concepts de temps et d’espaces n’ont pas cours. L’univers n’est qu’une brume d’énergie aussi ardente que minuscule. Soudain il se développe, en moins d’un millième de milliardième de seconde, il passe de la taille d’un atome à celui d’un orange. A partir de là l’univers va se dilaté, se déployer, se dérouler, devenant plus vaste et plus froid à chaque instant. Au bout de 100 secondes, il est aussi grand que notre système solaire, soit des milliers de milliards de kilomètres de diamètre. ...Désormais il y a quelque chose dans l’univers, la matière. Ce quelque chose est composé...de particule fondamentale, la matière constitutive de toute chose, des étoiles au brin d’herbe. ...Après 10 minutes d’existence l’univers fait déjà des milliers d’années-lumière de diamètre...Voilà comment tout a commencé. » (Stephen Hawking)

Il est faux de croire que l'âge de l'univers est similaire à son étendu en années-lumière. Nos concepts de temps et d'espace n'ont pas cours comme sur terre et ne sont aucunement applicable lorsqu'on les considère dans l'étendu de l'univers. Ce qui est insaisissable pour beaucoup de scientifiques, c'est cette déclaration:

          "...Après 10 minutes d’existence l’univers fait déjà des milliers d’années-lumière de diamètre..."

Nous remarquons ici que l'étendu de l'univers en années-lumière n'a aucun lien avec l'âge de l'univers. Des milliers d’années-lumière de diamètre après 10 minutes d'existence pour beaucoup de scientifiques évolutionnistes, cela est énigmatique.

Donc on ne peut pas se baser sur des distances en années-lumière pour déterminer le moment et le temps du début de toutes choses. Nous ne pouvons dire l’âge de l’univers (le temps d’existence) en se basant sur son étendu en milliers d’années-lumière. Le concept espace-temps et est très différent de ce que nous vivons sur terre.

Avec les données recueillies par le satellite Planck sur le rayonnement fossile aux confins de l’univers, les scientifiques ont pu faire sur ordinateur un développement de retour en arrière sur son expansion. Ce retour en arrière permet de visualisé avec exactitude ce qui s’est passé il y a quelques milliers d’années. La technologie nous permet de voyager dans le temps, de faire un retour dans le passé par l’analyse de l’imagerie radiométrique et spectrométrique. Ceci a permis aux scientifiques de voir les débuts de l’univers. Entre autres, Stephen Hawking, physicien théoricien et cosmologiste britannique en visualisant ce scénario, déclara :

          «Lentement tout se rapproche. Bientôt toutes les galaxies, toutes les structures cosmiques convergent vers un point unique situé au début de toute chose, il y a 13 milliards 700 millions d’années.» (Stephen Hawking)

Il faut bien comprendre ici, que le 13 milliards 700 millions d’années est une distance et non une durée. Ce n'est pas le temps écoulé depuis le début de toutes choses. Hawking aurait dû dire :

Lentement tout se rapproche. Bientôt toutes les galaxies, toutes les structures cosmiques convergent vers un point unique situé au début de toute chose à une distance de 13 milliards 700 millions d’années-lumière, au lieu de parler de temps et de dire: il y a 13 milliards 700 millions d’années.

Nous ne pouvons pas dire l’âge de l’univers (le temps d’existence) en se basant sur son étendu en milliers d’années-lumière. Ici nos  concepts de temps et d’espaces n’ont pas cours comme sur terre.

Plus on sonde les confins de l’univers, plus on va chercher des images éloignées, plus on se dirige vers le début. L’univers qui est en expansion et en accélération progressive, diminue en vitesse et en expansion lorsqu’on se dirige vers son origine. Les puissants télescopes, la radiométrie et la spectrométrie nous ont permis de découvrir cette réalité. Quand on examine le spectre lumineux que les galaxies nous ont laissé dans leur parcourt depuis le début, cela nous permet de faire un scénario qui nous conduit au début de toutes choses. On remarque alors que tout se rapproche, toutes les galaxies, toutes les structures cosmiques, convergent vers un point unique situé au début de l'existence matériel de l'univers.

Ces recherche nous amène à conclure que l’univers a un commencement, un point zéro. Il y a quelques années ce fut une nouvelle mondiale quand les scientifiques ont déclaré être parvenus au début de toute chose en découvrant ce petit point lumineux qui apparait au milieu de nul part. On venait de découvrir le tout début de l’existence matérielle de l’univers. On venait de découvrir le point zéro où débute l'existence du temps, de l'espace et de la matière. Immédiatement après, apparait un immense torrent d’énergie qui se déverse dans le vide, dans le néant, comme le décrivent les frères Bogdanov, astrophysiciens. De là apparait la matière qui jusque-là était inexistante. Serait-ce le tout début de l’existence matérielle de l’univers?  Serait-ce la création de Dieu à partir de rien? Je peux vous dire que cela ressemble exactement au récit que nous retrouvons dans la Bible en Genèse chapitre 1. Nous remarquons que l'univers a commencé brusquement dans un acte de création. On voit qu'il est question d'un commencement et non d'une évolution. On remarque que la matière était inexistante et que tout a été fait à partir de rien.  En même temps apparait le temps et l'espace qui étaient alors inexistants. La science sans le savoir, venait de confirmer ce que la Bible a déclaré depuis quelques millénaires. Le problème avec nos scientifiques, c'est qu'ils ne connaissent pas le concepteur de cet acte créateur. Ils veulent l'ignorer volontairement comme il est dit en (2 Pierre 3 : 5) où il est dit :

          "Ils veulent ignorer, en effet, que des cieux existèrent autrefois par la parole de Dieu..."

Je vous invite à lire mes autres articles sur mon site qui traite des grandes découvertes scientifiques qui remettent en question bien des déclarations de scientifiques du passer.

samedi 16 mai 2020

Un excellent résumé sur le Coronavirus Covid -19

 -- TEXTE DE : Professionnels de la santé
 -- PUBLIÉ LE : 2 avril 2020

"Un excellent résumé sur le Coronavirus Covid-19’’ d’un assistant-professeur en maladies infectieuses à l’Université John Hopkins, Baltimore-Maryland, USA

C’est un excellent condensé sur la manière d’éviter la contagion, très instructif tout en étant clair et facile à suivre.

Le virus n’est pas un organisme vivant, mais une molécule de protéine (ADN) recouverte d’une couche protectrice constituée de lipide (matière grasse) qui, lorsqu’absorbée par les cellules oculaires, nasales ou buccales, change son code génétique (mutation) et se transforme en agresseur et en cellules multiplicatrices.

Dès lors que le virus n’est pas un organisme vivant mais une molécule de protéine, on ne peut pas le ‘’tuer’’ à proprement parler ; il se décompose de lui-même. La durée de cette désintégration dépend de la température, du niveau d’humidité et du type de matière sur laquelle il repose.

Le virus est très fragile ; la seule chose qui le protège est une fine couche extérieure de graisse. C’est pourquoi tout savon ou détergent est le meilleur remède, car la mousse attaque la graisse (raison pour laquelle on doit autant se frotter les mains, 20 secondes ou plus, afin de faire beaucoup de mousse). En dissolvant la couche grasse, on obtient que la molécule de protéine se disperse et se décompose d’elle-même.

La chaleur fait fondre la graisse, voilà pourquoi il est bon d’utiliser de l’eau au-dessus de 25°C pour laver ses mains, les vêtements ou toute autre chose. De plus, l’eau chaude produit plus de mousse et la rend ainsi plus efficace.

      -   L’alcool ou tout autre mélange contenant plus de 65% d’alcool dissout toute
          graisse, et particulièrement la couche extérieure de lipide du virus.

      -   Tout mélange d’une (1) dose d’eau de Javel pour cinq (5) dose d’eau dissout
           directement la protéine et la détruit de l’intérieur.

      -    En l’absence de savon, d’alcool, ou de chlore, on peut recourir à l’eau
           oxygénée, car le peroxyde dissout la protéine du virus, mais il faut
           l’utiliser pure, ce qui est nocif pour la peau.

      -   Aucun bactéricide n’est utile. Le virus n’est pas un organisme vivant
          comme la bactérie. On ne peut pas tuer ce qui n’est pas vivant avec des
          antibiotiques.

      -   Ne jamais secouer vêtements (sur soi, ou qu’on a portés), draps ou chiffons.
          Si on secoue un linge ou qu’on utilise un plumeau, les molécules du virus
          peuvent alors flotter dans l’air pendant 3h et aller ainsi se loger dans le
          nez.

      -    Lorsque le virus est collé à une surface poreuse, il est très inerte et se
           décompose en seulement :

                  3h sur un tissu par exemple ou toute autre surface poreuse.

                  4h sur le cuivre (naturellement antiseptique) et le bois (qui l’assèche et
                        l’empêche de se décoller pour se diffuser dans l’atmosphère).

      -    mais il peut subsister jusqu’à :

                  24h sur le carton.

                  42h sur un métal.

                  72h sur le plastique.

      -    Les molécules du virus restent très stables dans le froid extérieur, ou dans
           le froid artificiel (climatisation des bâtiments ou des véhicules, par
           exemple…). Pour rester stables, ces molécules ont aussi besoin d’humidité
           et de pénombre. Ainsi, le virus se dégradera plus facilement et rapidement
           dans un environnement déshumidifié, sec, chaud et lumineux.

       -   Les rayons ultraviolets décomposent la protéine du virus, quelque soit la
            surface où il se trouve. La lampe à ultraviolets, par exemple, est parfaite
            pour désinfecter et réutiliser un masque. Prudence néanmoins car elle
            décompose aussi le collagène (une autre protéine) de la peau et peut être
            la cause de rides et cancer de la peau.

       -    Le virus ne peut pas passer à travers une peau saine.

       -    Le vinaigre ne sert à rien car il ne dissout pas la couche protectrice
             grasse du virus.

        -   Les boissons alcoolisées, comme la vodka, n’ont aucun effet (les plus
            fortes comportent autour de 40% ou 50% d’alcool, or la teneur minimale
            requise est de 65% d’alcool).

        -   La Listerine peut être utile, sa teneur en alcool étant de 65%.

        -   Plus l’espace est confiné, plus la concentration du virus sera grande. Plus
            l’espace est ouvert et aéré, plus la concentration du virus sera réduite.

N.B. :   Outre les indications ci-dessus, vous devez vous laver les mains avant et après avoir touché : muqueuses, nourriture, serrures, poignées de portes, boutons et interrupteurs (lumière, ascenseurs…), téléphones, télécommandes, montres, ordinateurs, bureaux, télévisions, etc…

Lorsque vous allez aux toilettes et/ou dans la salle de bain, il est important de s’hydrater les mains car elles ont tendance à se dessécher à force de lavages répétés. les molécules du virus peuvent alors pénétrer dans les micro-lésions de la peau. Plus l’hydratant est épais, mieux c’est.

Veillez aussi à garder vos ongles courts, pour éviter que le virus n’aille se cacher dessous.

Merci infiniment à tous de partager ceci aussi largement et généreusement que possible.